Les trucks.

Là-bas , il n'y a pas de transports en commun . Des propriétaires privés achètent des camions qu'on transforme - voir photo-.C'est très sympathique . On est transporté dans une musique d'enfer , tahitienne bien sûr. Parfois , des touristes les empruntent ; ils ont raison car là , on rencontre vraiment le petit peuple tahitien . ils sont toujours gentils avec les touristes :ceux-ci peuvent avoir la surprise de se voir offrir...un enfant !cela m'est arrivé ; c'est une coutume tahitiene , il n'y a pas de quoi s'offusquer . Maintenant , je crois que le territoire met quelques obstacles à ces échanges pour éviter les malentendus.

   Je pense être la seule métropolitaine - on dit popae en maori- à être partie la-bas sans voiture et sans permis. A Moorea , je circulais en vélomoteur : il y avait si peu de circulation ! Mais les jours de pluie , c'était dur .Par beau temps , c'était jouissif ; on arrivair en haut de la côte et on

découvrait Tahiti.

  Mais , à Tahiti , j'avais peur et non sans raison ; les tahitiens arrivent en voiture pour passer le permis et repartent en voiture même si on ne le leur a pas accordé.

   J'ai donc voyagé en truck .

   Seulement , il faut s'organiser car la régularité est inconne en ce pays  sauf aux heures de pointe tout de même. Entre temps ; ils sont au départ à deviser joyeusement;.Soudain une idée encore plus séduisante les saisit ; ils partent tous ensemble et c'est à qui doublera l'autre sur la route de ceinture .Je n'ai jamais entendu parler d'accident de truk...Le dieu des trasports doit les proteger.

   Donc , j'ai visité des "favellas" que personne n'a jamis vues.

Après les cyclônes de 83 , les habitants des atolls ont fui leur plat pays et se sont installés sur les hauteurs fe Faaa . La France a beaucoup donné d'argent mais ça n'a profité qu'à certains .Je me tais car sipar le plus gran des hasards ces lignes tombaient sous des yeux avertis , on pourrait me traduire en justice.

  Et je m'arrête pour aujourd'hui car je fais trop de fautes de frappe.